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Ie Année
Prix: 10 oentîmes
LA NOUVELLE
ANNÉE
Numéros
�reusement. Ce que je voulais vous dire est simple,
mais difficile. Un obstacle peut me donner une
ZGMMàTKK
heures en chemin de fer pour arriver au point de
départ, Roger Spadridi. — Folies-Bergeracoises,
Roger Spadridi.
Réveillon, Laurent Goutan.
Chronique fantaisiste, Truffaldin. — Le Bonhom¬
me Jour de l'An, Mathieu Sans-Souci. — Théâtre.
114
—
me
jeter dans
pour
Aussi
ÉCRITE si TOUTE VAPEUR
(Suite)
IV
M.
dTIarbonville, Edouard pour les dames,
résolut de déclarer carrément à Mme de
koff
qu'il était follement
amoureux
Korgalisd'elle.
Et, si elle se met encore à rire.
Grave, il chercha la solution.
—
—
Je lui
répondrai qu'elle est
une
sotte I
Oh ! oh I
Les occasions
recula pas
lui
manquaient pas. 11 ne
devant la première. 11 s'assit près d'elle
ne
et aborda franchement
:
Madame, lui dit-il, je ne sais pas si je suis
importun. Ce qu'il y a de certain, c'est que je
—
souffre
Korgaliskoff déboucha par une porte.
Tiens, dTIarbonville! vous voilà ! bonjour,
cher ami. Tâchez de
ne
pas vous ennuyer.
La conversation
s'engagea entre le mari et
l'amoureuse. On parla du percement du canal de
Panama. Le Moscovite s'échauffait.
*
H
H
Quelqu'un entra. C'était un ancien avocat à la
Cour d'appel, M. Barlieu. Korgaliskoff était à son
affaire. M. Barlieu discourait indistinctement et
préférence
politique, religion, littérature,
philosophie, esprit,
histoire, sucres, cordonnerie, boucherie, saisons,
soleil, pluie, fourrages, farines, navires, commis¬
sans
:
art, théâtres, sciences, amour,
sion, exportation, etc., etc.
Korgaliskoff répétait souvent qu'il aimait la
conversation de cet homme savant et que lui,
Korgaliskoff étant homme de progrès, voulant
s'occuper de tout ce qui touche à la société « et
aux lois
mystérieuses qui président à sa vie »
c'était une expression de l'avocat.
A Barlieu, toute discussion était indifférente.
En tout, il allait au fond des choses, conscien¬
cieusement, longuement, savamment même. Bien
ne lui
plaisait, tout l'intéressait. II faisait entrer
la philosophie dans une question de civilisation,
donc d'instruction, donc de lumières, donc
Mais
qu'y a-t-il donc I
t'égares !
—
Eh ! fauteur I tu
»
*
Edouard
*
rapprocha de la comtesse. 11 se
rassit à côté d'elle. Les deux pérorcurs s'accrochant l'un à l'autre dans une chambre à côté; la
comtesse avait les yeux baissés et se tenait dans
l'attitude d'une personne qui écoutera
jusqu'au
bout. (1)
Madame, dit-il, j'ai été interrompu malheu¬
se
—
(1) Le
morceau
qui suit est vigoureusement
commandé à tout laborieux élève de
rhétorique.
pour
dire. Eh bien ! voyezje souffre ! — Je souffre
comme un personnage romanesque, et je sais bieq
que les plus forts de ces personnages sont ridicu¬
lisés. Mais de même que ce ne sont pas eux qui se
font ainsi, ce n'est pas moi qui fais ma douleur.
Etant dedans, je ne la surmonte pas, et si je
l'avais créée je pourrais la défaire. Mais non ; ce
n'est pas ma faute, voyez-vous ; il faut s'en pren¬
dre à un autre qu'à moi. A qui ?... à vous ! à vous
par qui je souffre et par qui je voudrais souffrir...
Je ne sais si vous me comprenez, si mon langage
est intelligible et sensé. Dire à quelqu'un qu'on
aime, c'est grave et obscur. On ne le dirait pas,
si on ne croyait être compris ; mais pour com¬
prendre cette chose là, il faut la sentir, et en être
frappé, non à l'esprit, mais au cœur ; donc pour
comprendre le cri de celui qui vous aime, il faut
vous,
re¬
je
veux
tout
vous
le fait est ceci
:
l'aimer.
Et si
me
M. de
—
Comment je suis entré
serait.
AU POINT DE DÉPART
HISTOIRE
:
la première fois, je
l'ignore. Comment j'en ai pris l'habitude, je ne le
comprends que vaguement. Mais ce qui est bien
sûr, c'est que, si d'une parc le, d'un signe ou d'un
regard, vous me faisiez comprendre que je ne
puis plus reparaître, je sens bien que cela me bri¬
arriver
fou,
ses
paroles de cet
réflexions.
découragé lui demanda
propres
Le malheureux
Une femme
—
aux
:
n'est donc pas comme un
ce
homme pour cela ? Tandis que l'atlribul de l'homest de souffrir, la femme ne pourrait donc
avoir cet autre attribut : consoler.
me
dans votre maison
114 Heures en (tin le îer
écoutant, mêlant
en
insensé
un
railler.
Or, madame, voici
Annonces.
—
embarras insur¬
montable. D'ailleurs, il est utile que je me fasse
bien comprendre pour ne pas me faire haïr ou
allure bête et
tout
vous ne
m'aimez pas, vous ne pouvez pas
comprendre, et je parle au hasard comme un
comme un sot ; et voilà l'amoureux qui de¬
vient ridicule...
Pourtant, ce qui fait qu'on dit de ces choses là
qu'on y est porté fatalement, inévitablement.
A^ors on devient victime, puisqu'on cesse d'être
libre. — Où donc est la prison ? elle est dans ce
mot vague qu'on dit être l'amour ; — où donc est
le geôlier? C'est le destin, je f ad mets. Mais si
mon geôlier ne veut
pas que je sorte, ma prison
voudra-t-elle me garder ? Ne m'écrasera-t-elle
pas? N'entendrai-je point ses quatre murs me
railler en me jetant à la tête leurs éclats de rire?
Je ne sais pas, moi, mais il me semble que
Dieu aurait dû faire les choses comme cela.
—
tombe, celui-là le relève. — Un
soif, un autre ie désaltère. — Un misérable
se meurt, une bonne âme le sauve. — Un homme
souffre, eh bien ! je n'en demande pas tant que
tout à l'heure ; je ne dis plus : Consolez ma souf¬
france ; je n'implore que ceci : Comprenez-la.
La comtesse, sans relever la tête, interrogea :
Pourquoi donc pas : partagez-là ?
être
me
condamneront-ils à
nel?... Quand
je leur parlerai
un
ne
silence éter¬
seront-ils pas
sourds ?
a
■—
Edouard
répartit
:
Parce que c'est trop exiger. Cola, c'est forcer
à l'amour. C'est dire à quelqu'un : « j'ai une dou¬
—
leur, vous que j'aime, prenez un peu de cette
douleur ; mais prenez garde ! Cette douleur vous
l'aimerez vous-même, et en elle vous m'aimerez I »
C'est dire à autrui
si autrui
«
:
Je
t'aime, aime-moi !
Et
»
veut
pas? Si ce que vous sentez, il
réprouve pas, que va-t-il advenir de cet hom¬
me ? Cet exigeant ìetombe du haut de sa
préten¬
tion orgueilleuse. II redevient ce qu'il doit être :
victime
oui, victime. N'est-ce pas là son
ne
ne
—
—
sort forcé ?
C'est
juste, dit simplement la comtesse,
mais, reprenez la première hypothèse 1
Elle releva la tête, ses yeux s'éclairèrent et elle
continua, quand dTIarbonville allait poursuivre :
Si, à cette interrogation : Yeux-lu m'aimer?
la femme répond : Je le veux bien I
Elle s'arrêta. Lui, effrayé de ce silence, bal¬
—
—
butia
c'est
Ou bien
Celui-ci
—
—
:
Est-ce vrai ?
La comtesse demeurait muette.
—
bien.
et de
Je
troublé et
je ne comprends plus
(4) Quelque chose de machinal, d'instinctif
tout puissant me mène. Quoi ? si un homme
disait à
me sens
une
femme
Youlez-vous m'aimer, et si
:
elle
répondait : Je veux bien ! Mais cela ce n'est
plus la prison, c'est la liberté, la liberté à deux ;
ce sont les romans, la poésie brève ! Ce sont les
grands bois avec les taillis sombres derrière le
ruisseau d'argent ! C'est le ciel sur un edin de la
terre ! C'est Dieu dans deux âmes ! C'est le sourire
à l'état
De
temps en temps, Edouard s'arrêtait, fixant
ses yeux sur la comtesse immobile. Comme elle
restait muette, il continuait comme un fou.
Mais alors
étant
ce
sera
une
torture ;
ma
douleur
fin, mes larmes ne tariront jamais, et
sanglots ne m'étuufferont pas. Je serai con¬
damné à ce supplice : me sécher sur le brasier de
mon amour et ne me consumer jamais. Tout à
l'heure, je voyais une prison, à présent je vois un
bûcher au milieu. Si Dieu voulait que ce ne fût
qu'une hallucination, un rêve... Mais non ! C'est
la vérité, la réalité, la vie. Oh ! je
m'y trompe
donc encore ? Toutes les fois que l'on souffre, on
devrait être bien sûr si l'on est éveillé. Cependant,
du moins, hors du sommeil, on a cette ressource :
sans
mes
lutter.
incarné, et incarné deux fois, dans une
qualité qui fait unité I C'est l'entrelacement mys¬
térieux, mélodie charmante I C'est une note de la
grande harmonie qui est le concert, l'agencement,
le grand orchestre de la création 1 C'est l'immensité, l'éternité et la sérénité se confondant dans
ces deux petites choses : deux âmes 1 Ce sont deux
êtres qui chantent et vivent ensemble, en se répé¬
tant toujours le même mot, car ils ressentent
toujours la même impression
Ils
tage
—
—
Elle
ne
répondait
pas,
l'œil fixe, elle pensait
—
—
à
;
et lui, s'animant davan¬
Ce que
c'est encore, c'est
Oui, dit-elle.
C'est vous, me
vous
et moi !
permettant de prendre
un
de votre
■—
Noyez-vous, madame, cette ressource est une
grande ironie. Lutter contre qui ? Contre vous ! et
vous, vous ne faites pas attention à moi. Ce n'est
pas s'attaquer à un adversaire qui me déteste ;
c'est s'en prendre à une force qui ne me voit pas,
qui ne me compte pas et qui aurait encore beau¬
coup de chemin à Caire pour mépriser.
rapprochèrent
:
—
peu
se
amour.
Mon amour ? Qui croyez-vous que
Eh 1 votre mari.
Allons I
vous
n'y
pensez pas.
Si
j'aime ?
vous
croyiez
que vous dites là, vous ne seriez pas venu
me dire
que vous m'aimez. Pourquoi? parce que
vous n'êtes pas un sot, si amoureux
que vous
ce
soyez. Et voilà pourquoi je vous aime.
(1) Le morceau qui suit est fort à la mode du
jour. II peut être facilement mis en musique.
�Vous m'aimez?...
—
de
Mon
Dieu, oui. Ecoutez, Edouard, que je
ou mal, je ne le considère
pas. Je vous
assure que je vous aime bien. J'en suis sûre moi
même, et comme cela me suffit, cela doit vous
—
fasse bien
Nous
suffire
à la fin de mai,
sommes
je vais
partir
avec mon mari pour notre saison d'été.
C'est la première fois qu'elle me semblera ennu¬
côté, j'ai écrit à mes parents de devancer
tant soit peu Renvoi mensuel ; mais il n'y a un
Dieu que pour les imbéciles. Ma cervelle est à sec
aussi bien que ma bourse, je lui ai déjà emprunté
tant d'ingénieuses combinaisons qu'elle aussi re¬
fuse impitoyablement de me venir en aide. Si de
ta part, comme ton visage paraît l'indiquer, tu as
perdu tout espoir de fléchir ces maudits fournis¬
mon
yeuse, croyez-le. Revenez me voir ici, le 3 ou le
k août, quand le comte sera parti. C'est à vous de
seurs, nous
guetter son départ. Ne reparaissez pas avant...
Dites au revoir à Korgaliskoff et prétextez un
voyage oublié, une affaire, n'importe quoi. Chat !
exemple ! je n'y renonce
répondit Henriette, ce serait vraiment trop
ridicule, de se coucher tranquillement comme
deux vieux bourgeois, pendant que les autres ri¬
raient et feraient sauter le champagne I pendant
que dans les plus paisibles familles on mange au
moins les immortelles saucisses, eu racontant quel¬
que contefantastique, autour de la traditionnelle
Adieu.
Edouard
disparut, non sans voler je ne sais
quoi sur les lèvres de Bluette. Sorti, il aspira l'air
à pleins poumons, heureux et fier, se sentant
plein de vie.
La comtesse alla cacher
son
appartement, où elle pleura
rire
émotion dans
un peu, ce
son
qui la fera
beaucoup,... plus tard.
(A suivre).
Roger SPADRIDI.
|oìics Sexgeraeoises
C'est par une
la
disette universelle que s'annonce
faim du monde.
*
*
Le
par
O
marchand qui vend à l'ceil, finit
perdre
clients de
ses
toujours
vue.
*
*
Je
se
comprends
le
que
*
l'on fasse
son nez
quant
on
casse.
*
d
Mlle de Z... est
*
de
nos
exercices.
D'un
bond, Mlle de Z...
saute
pardessus son
cheval avec une adresse merveilleuse ; malheu¬
reusement, sa jupe s'accroche un peu à la selle,
un peu plus même
que les convenances n'auraient
dû le lui permettre, et découvre tout ce
que d'or¬
dinaire on tient soigneusement caché.
Le
tiant
sans
Eh bien !
—
Jean,
domestique,
mais
renoncer
à
non
par
pas,
bûche de Noël !
découragement que tu croyais lire sur mon
visage, mon cher André, provenait de l'attention
que je portais à la composition d'un petit plan,
que tu approuveras, j'en suis sûre.
Tu n'as pas été sans remarquer la cour assidue
que me fait le petit vicomte Gaëtan de la Bourseronde; comme le bambin m'amusait, je n'ai pas
cru devoir le décourager, et aujourd'hui je
m'applaudis de cette heureuse inspiration. A l'occasion
de la messe de minuit, ses parents lui lâchent la
bride et lui donnent campo jusqu'à trois heures
du matin. Pour bien mettre à profit ses quelques
instants de liberté, il me supplie de lui accorder
un rendez-vous pour celte nuit. Mes
préoccupa¬
tions m'ont empêché de lui répondre, mais je
suis encore à temps, et, s'il faut te l'avouer, c'est
à lui que je me propose de faire jouer le rôle du
bienfaisant petit Jésus. Si tu veux que mon plan
réussisse laisse-moi agir seule et promets moi
tructions.
ses,
mes
ins¬
Du reste,
elles ne seront ni nombreu¬
ni difficiles, je te recommandes seulement
de t'absenter
jusqu'à minuit, pour me laisser le
temps d'achever tous les préparatifs. A ce mo¬
ment, tu entreras dans notre appartement en fai¬
sant le plus de bruit possible ; c'est de ton entrée
que dépendra la réussite de mes combinaisons.
Je crois avoir
compris,
divine Henriette,
me met à l'envers,
devant toi je paraisse moins bète,
me
Et, pour que
o
confond, il
Je le célèbre
en vers.
Ce disant, André, pour montrer sa respectueuse
obéissance, saisit son chapeau et sortit. Restée
seule, Henriette s'approcha de son écritoire et li¬
bella le billet suivant
agilité?
coq et balbu¬
rouge comme un
Oui, mademoiselle, j'ai vu votre... agilité,
chez nous, on n'appelle pas ça comme ça !
Roger Spadridi.
Cher
«
avez-vous vu mon
:
Gaëtan,
Mon
tyran s'absente ce soir, il passera la
nuit dehors, si vous voulez p-ofìter de son éloi¬
gnement je vous attendrai ce soir à onze heures.
J'ai refusé, dans ce bot, d'assister à un grand
réveillon que quelques-uns de mes amis donnent
ce soirJ'ai pensé qu'il serait
beaucoup plus agréa¬
«
il arriva
U est donc bien
que
cher
décidé, ma chère Henriette,
la ladrerie de nos fournisseurs va nous empê¬
encore
Par
Mais
un
«
bon réveillon la nuit de la Noël.
aussi, quelle idée de placer la Noël un
vingt-cinq ? à la veille d'une fin de mois. Ah !
vraiment l'Eglise n'en fait jamais d'autres ! Tu me
dis avoir frappé vainement à toutes les portes ;
Votre bien
d'impatience. Gaëtan de la Bourseronde se pré¬
en tremblant devant la maison qui abritait
l'objet de son amour, et c'est le cœur tout serré
par cette douce émotion qu'éprouvent toujours les
amoureux au moment où pour la première fois on
consent à couronner leurs feux, qu'il frappa à la
porte d'Henriette. Celle-ci vint ouvrir elle-même.
Elle sembla
prendre en pitié le trouble de son
jeune soupirant et fit tout son possible pour lui
donner un peu d'assurance. Ils s'installèrent en¬
semble devant une table copieusement servie et
commencèrent à souper en devisant de choses
banales telles que la rigueur de la saison, le peu
d'agréments qu'offre Paris pendant l'hiver, bref,
de sujets tous autres que ceux pour lesquels le
jeune Gaëtan paraissait avoir demandé un rendezvous.
il demeura la bouche ouverte, ses
joues changèrent de couleur, et il montra tous les
signes de la plus franche terreur.
—
Entendez-vous, dit-il à Henriette, entendez-
vous ces
pasdans l'escalier ! Je crois reconnaître la
démarche de M. André. Mon Dieu 1 si c'était lui il
tuerait 1
me
Henriette
crut
obligée de montrer elle aussi
grande frayeur, et dit :
Vous ne vous trompez pas, c'est bien André
qui monte... avant longtemps il sera là... où
vous cacher? Mais j'y pense, j'ai là un placard
vide, entrez-y vite, je vous délivrerai quand il sera
parti.
Aussitôt fait que dit, le brave Gaëtan est enfer¬
mé dans son placard, et Henriette va ouvrir à
André, qui commence déjà à manifester son im¬
patience.
Dès qu'il fut entré et qu'il eut vu les apprêts
se
une
—
du
festin, il s'écria
Je constate
:
Mademoiselle,
qu'on ne s'ennuie pas trop en mon absence ! Par
la sambleu ! il faut me dire quel est celui qui
partageait avec vous ce repas !
Oh ! mon ami, répondit Henriette, comment
peux-tu porter sur moi d'aussi injustes accusa¬
tions ! Ne sais-tu pas que c'est aujourd'hui la
Noël I J'ai supplié le petit Jésus de me procurer
le pain dont tu me laisses manquer, et, comme
—
avec
plaisir,
—
tu le
bien voulu m'exaucer.
Puisqu'il en est ainsi, répondit André, j'au¬
rais tort de refuser ce qui nous vient du ciel, et
pour montrer que tu n'es pas moins charita¬
ble que lui, tu me permettras bien j'espère d'en
prendre ma part.
Vous dire quelle mine faisait pendant ce collo¬
que, Gaëtan de la Bourseronde, serait chose su¬
vois, il
a
—
perflue. Qu'il vous suffise de savoir qu'André ne
l'inquiéta pas davantage, et le laissa rentrer paisi¬
blement chez
cette morale
lui, où
qui
sera
sa
vénérable mère lui fit
aussi celle de
ce
conte
:
Quand le petit Jésus vient délivrer la terre,
Un enfant doit rester
près du sein de sa mère.
Laurent Goutan.
CHRONIQUE FANTAISISTE
dévouée,
«
de
Fêter, selon l'usage antique et solennel,
tant
café
Anglais, je courrai risque d'y renconter M.
André, mais vous pourrez, si vous voulez, envoyer
les provisions chez moi,ce sera
beaucoup plus sûr
pour tous deux.
au
avec
senta
ble de souper tranquillement en tête-à-tête avec
vous. Je ne puis accepter le dîner que vous m'offrez
RÉVEILLON
moment attendu
ce
Tout à coup,
Le
s'émouvoir ;
:
—
Ah ! mais
—
Ton talent
Mlle de Z...
voir forcés de
nous
seulemeut d'exécuter à la lettre toutes
premières amazo¬
nes. Depuis
quelque temps l'idée lui est venue de
faire de la voltige. Et elle s'exerce dans son
parc.
Elle est suivie dans ses promenades
par un jeune
domestique encore peu dégrossi. Un de ces ma¬
tins, les voilà partis en compagnie, et, quand on
est arrivé sur une vaste pelouse où l'on
peut tom¬
ber, sans se faire trop de mal, commencent des
une
allons
notre réveillon.
Enfin
HENRIETTE.
,
LB
NQNîZT- àN
La
joie du petit vicomte fut à son comble quand
billet, il s'empressa de courir chez le
meilleur traiteur, lui commanda un festin digne
de Balthazar, et fit porter le tout chez son aima¬
il reçut ce
ble amie.
Je ne sais si vous êtes comme moi, chères lec¬
trices, mais depuis quelques jours tout marche à
souhait dans mon modeste ménage. Mon chocolat
n'est plus rimé ; le matin, ma bonne pousse même
la complaisance jusqu'à me le porter au lit — ce
�je ne me plains pas — car elle est jolie,'ma
bonne! Eh ! dam, vous savez, quand on est molle¬
dont
qu'on a près de soi une jolie bonne
qui vous porte votre chocolat bien chaud et bien
bon, ce n'est pas désagréable. Maig, laissons-là ma
bonne et son chocolat pour revenir à mon bon¬
heur, je dis bien mon bonheur, car vraiment je
n'ai plus à me plaindre de rien. Mes souliers sont
luisants, ils n'accusent pas la moindre tâche de
boue, on dirait, ma foi, qu'ils sont toujours neufs.
Mes habits sont propres comme s'ils sortaient de
la main du tailleur ; ma concierge m'ouvre la porte
à n'importe quelle heure de la nuit et, cela, sans le
moindre grognement — fi! la vilaine expression,
ment étendu et
direz-vous !
n'avez
cela
—
Oh !
comme
l'on voit bien que vous
jamais entendu une concierge furieuse, sans
trouveriez mon expression absolument
vous
polie.
Ma cousine
j'en ai
déplaise —
un ange ; je dois vous avouer que c'est ce qui
m'étonne le plus. Enfin, en un mot, je suis le mor¬
tel le plus heureux de la terre, et moi-même, l'homme le plus indécrottable qu'on puisse trouver, je
sens que je deviens très aimable, ah ! mais là, très
aimable. Mais, pourquoi diable ce changement dans
car
—
existence, pourquoi ?
une ne vous
Eh ! parbleu, c'est
que nous sommes au premier de l'an, c'est que ma
bonne, ma concierge et ma cousine attendent les
étrenues. Vous avez cru peut-être, ô charmantes
lectrices, que c'était pour m'ètre agréable que tout
ce qui m'entoure était devenu charmant. Eh ! bien,
vous vous êtes étrangement trompées, c'est tout
simplement pour que l'étrenne soit plus forte, pour
que ma bourse se délie plus largement. Et, une
fois le jour de l'an passé, tout redeviendra mauvais
mon
chez moi. Mon chocolat
sera
laisser
pas
sans vous
commencer cette nouvelle année
dire tout ce que je souhaite pour votre
bonheur. Aux jeunes filles un bon
mariage pendant
Tannée 1887 ; aux femmes mariées un excellent
divorce ; et, en terminant, je vous offre mon coeur ;
n'ayez
puisse
il est assez gros pour que je
donner à chacune un petit morceau.
pas peur,
vous en
1886 n'est
plus, vive 1887 '
Trufaldin.
Jtim AeàmZ
lep
donner à toutes
des conseils pour
celle qui
THÉâTRE DE BERGERAC
UNE SEULE
l'Etoile des Concerts de Paris
avec le
MLLE
tu
pur, constant,
as
su
concours de
AUSQUICHOURY
Chanteuse légère
des Concerts de Bordeaux
Mlle Saluste» du
Vaudeville;M. Gui-
rnudon, baryton de l'Opéra- Comique ;
M.Lacan. trial du Grand-Théâtre de
com¬
Bordeaux ;
Approche, toi d'abord, avec tes dix-huit ans,
petite Rosine, que je préfère à toutes tes compagnesjà cause de ta fidélité pour Marcel : c'est toi
que je veux leur proposer comme exemple. Char¬
dans ton
REPRÉSENTATION DE
M. OUVRARD
mence.
mante enfant !
1887
Samedi 8 janvier
M. Pastor, pianiste.
A PRÉS LE BAL
Vaudeville
en
1 acte de Delacour et
Siraudin
trouver le vrai bonheur
—
rimé, et on attendra
que je descende pour me le donner ; mes souliers
seront à peine cirés, mes habits jamais brossés,
ma concierge ne m'ouvrira qu'en
grognant, et ma
cousine redeviendra ce qu'elle est, c'est-à-dire,
méchante et maussade, et cela depuis le 2 janvier
jusqu'au 25 dôcémbre.
Heureusement, chères lectrices, que vous êtes
toujours là, que vous me lisez attentivement, ce
qui, pour moi, est un grand plaisir. Aussi je ne
veux
Pourtant, bien que possesseur d'une éphémère
royauté, j'éveille l'attention de tous : chéri des
uns, honni des autres. C'est moi que les grandes
personnes accusent d'amener les visiteurs impor¬
tuns, les formules bêtes et mensongères ; mais je
suis aussi pour les enfants des bonheurs ingénus.
Et c'est encore moi, ô vierge, bientôt jeune fem¬
me, qui t'avances d'un pas vers la félicité désirée !
Pour l'avare je suis le jour maudit et insuppor¬
table ; ce dont je souris, car j'entends à ses côtés
un facteur qui
m'appelle « Excellence ! » et un
concierge « Majesté ! »
Pour vous, lectrices mes amies, je veux seule¬
ment être un vieillard et un juge... Vieillard, vous
pouvez m'accorder aujourd'hui, sans que vos mè¬
res y trouvent à redire, bon nombre de tendres
caresses. Juge, je vais rappeler la conduite de
deux d'entre vous pendant Tannée finie, je vais
"^sìîes„
JANVIER 1887
amour
immense. -Aussi le
distribution :
Ciel est pour toi : et depuis l'heureux jour où tu
laissas le bien-aimé ravir les fleurs de ton corsa¬
Caudebec, M. LACAN
ge, que d'instants bénis ne
Continuez ainsi, vous qui
lui devez-vous pas !
aimez sincèrement,
et puissent les vœux du papa Jour de l'An, vous
combler à jamais des plus douces prospérités !
Vous aussi, Mariette, vous avez un amoureux :
je vous en félicite. Je n'ai pas pu apprendre son
nom et vous n'avez pas voulu me le dire, mais
votre choix vous honore. Dois-je vous rappeler la
fameuse escapade de l'automne dernier? Je pas¬
sais lentement, moi, pauvre vieux, et je vous ai
vus vous promener tous les deux seuls, dans la
campagne. Vous, mademoiselle, vous étiez au bras
de monsieur et je vous entendais dire, lui, pen¬
INTERMÈDES
—
chant amoureusement
sa
tête
vers
la vôtre
: «
Saint-Sébastien, M. Guiraudon.
Lucie de Lamermoor, Mlle
Ausquichoury.
1. Air de
de
2. Air
3. Ouvrard dans ses créations.
4. Air du Bal
masqué, M. Guiraudon.
Ausqui¬
5. Air du Barbier de Séville, Mlle
choury.
6. Ouvrard dans ses créations.
soirée
la
Oh !
mon ami, combien je t'aime !
Combien il m'est
agréable d'admirer la nature avec toi ! Dis, qu'elle
est belle ainsi mourante, et qu'il est doux de s'ai¬
mer encore, malgré l'envolementdes beaux
jours.
Je ne sais pourquoi j'éprouve une chère langueur
à voir ainsi rouler les feuilles mortes, je ne sais
pas pourquoi j'éprouve un tel désir de m'étendre
une fois de plus sur
leurs chauds amoncelle¬
ments !
Henriette, Mlle SALUSTE
;
se terminera par
LES NOCES DE JEANNETTE
Opéra-Comique de Michel Carré et Jules Barbier
Musique de Victor Massé.
distribution
Jean, M. Guiraudon
;
:
Jeannette, Mlle Ausquichoury
;
etit-Renó, Mlle Saluste.
Thomas, M. Lacan;
»
Vous
parliez ainsi, Mariette. Et moi, le bonhom¬
me Jour de l'An, qui ne pouvais
suspendre un
instant mon voyage, j'ai souri, belle fille, en voyant
l'amant chéri vous prendre dans ses. bras pour
vous asseoir sous un chêne à moitié
dépouillé, et
je me suis éloigné au bruit de vos baisers.
Bureaux
:
7 h. 3/4.
—
Rideau
:
8 h. 1/2
PRIX DES PLACES :
Fauteuils, 3 fr.; Galerie, 2 fr.; Parterre
et pourtour, 1 fr.
Bergeracoises qui me lisez, je pourrais dire à
beaucoup d'entre vous qui elles aiment et comment
elles comprennent Tamour. C'est assez que le
Le bureau de location est ouvert
vieux bonhomme Jour de l'An ait montré à Rosine
6 courant,
à partir du jeudi
de 2 h. à 4 h. du soir.
qu'il connaît son bonheur, à Mariette qu'il a bonne
mémoire.
JOUR DE L'AN
Depuis ma naissance, voyez-vous, j'ai beaucoup
voyagé et je sais bien des choses. Mais je ne puis
parler comme je le fais aujourd'hui qu'une fois
Tan et voilà pourquoi je ne raconte pas tout. C'est
le Temps qui me manque ; c'est lui qui me pousse
vers
Pour
aujourd'hui,
charmantes lectrices, moi
tout jeune, moi votre ami,
je m'appelle le papa
Jour de l'An.
Sur mon dos, le froid manteau
—
des Hivers ; sur mon front des rides
profondes.
Mes grands cheveux blanchissent tout à
coup ;
ma barbe naissante se
change en longs fils d'ar¬
gent. Accablé par le poids des ans, un bâton
à la main, tout
courbé, Mathieu SansSouci devient le vieux Bonhomme
arrivant quel¬
ques jours après que son aîné, ce brave
Noël, a
noueux
fini
sa
revue
diverses.
générale des chaussures les plus
Ah !
je suis vieux, bien vieux même ! j'ai le
Temps pour ancêtre. C'est afin d'obéir à sa voix
quand il nous crie ; « Janvier ! » que, le premier
de mes trente-un frères,
je viens régner pendant
vingt-quatre heures sur tous les humains.
Voya¬
ger, voilà mon destin. J interromps ce matin ma
route, — Ce soir je reprendrai mon lent
pèlerinage
de trois cent soixante et
cinq journées
!...
IMPRIMERIE NOUVELLE
Grand'Rue, 15 et 17, BERGERAC
de nouvelles destinées.
Quoi qu'il en soit, charmantes lectrices, qui que
vieille expérience, lais¬
printemps et soyez de
gentilles folles. Vivez joyeuses et chaudes comme
le veut votre jeunesse. Mon ami Printemps va
bientôt venir : jetez, avec des chansons, les touffes
de fleurs qu'il vous donnera, au nez des moroses
personnes qùi vous parleront de travaux austères.
Donnez votre lèvre au bien-aimé pour qu'il y dé¬
pose son baiser, ouvrez-lui votre cœur pour qu'il
y cache son amour. Aimez, aimez toutes, oh ! hâ¬
tez-vous d'aimer ! Et puissiez-vous, toutes aussi,
quand le vieux bonhomme Jour de l'An reviendra
au temps que vous savez — avoir à lui raconter
de grandes et saintes joies éprouvées !
vous
soyez, croyez-en ma
adorer en votre
sez-vous
CARTES DE VISITE
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En
1887
typographie sur carton bristol... .le cent
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10.
2 00
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2 00
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Mathieu Sans-Souci.
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Title
A name given to the resource
Folies Bergeracoises
Type
The nature or genre of the resource
texte
publications en série
Spatial Coverage
Spatial characteristics of the resource.
Bergerac (Dordogne, France)
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Sem : Goursat, Georges (1863/1934)
Language
A language of the resource
fre
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A related resource from which the described resource is derived
Bibliothèque municipale de Périgueux, P2-798
Medium
The material or physical carrier of the resource.
papier
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Licence Ouverte 2.0
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
ark:/30098/hhtx
Subject
The topic of the resource
Politique
Bi-mensuel
Satirique
Description
An account of the resource
journal humoristique bi-mensuel
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886
Temporal Coverage
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18..
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The file format, physical medium, or dimensions of the resource
44 cm
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
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Bibliographic Citation
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I S S N Num 2505-1415
publication en série imprimée
Dublin Core
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Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
FRB243226101_P2-798_1886_006
ark:/30098/4905
Type
The nature or genre of the resource
text
Title
A name given to the resource
Les Folies Bergeracoises
Subject
The topic of the resource
Bi-mensuel
Satirique
Politique
Description
An account of the resource
N° 6, 1886
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886-12-31/1886-01-01
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
4 p.
Language
A language of the resource
fre
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Spatial Coverage
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Bergerac, 24100
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Goursat, Georges (1863 / 1934)
Contributor
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SEM : Goursat, Georges (1863 / 1934)
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An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
Rights
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Source
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Périgueux, Médiathèque Pierre Fanlac, P2-798
-
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091c841ceb062076209463876949d03c
PDF Text
Text
Ie Année
Prix: 10 centimes
LE MENDIANT
Numéros
�ib
HMMMàTKZ ®1 i°§;
A
lecteurs.
qu'amène l'hiver, Midas. —
114 heures en chemin de fer pour arriver au point
de départ, Roger Spadridi. — Aux jeunes Rédac¬
teurs des Folies, Un Ramolli. — Les Condition¬
nels (Zig-Zag). — La vengeance d'un mari trompé,
nos
De
—
Ceux
Yiel-Castel.
Les Commandements d'une
—
cocotte, G. des Hon.
rent
Goutan.
Spadridi.
Echos
et
—
La Sainte-Barbe, Lau¬
Causerie, Mathieu Sans-Souci.
Potins, D. Tockay. — Théâtre.
—
—
—
Arrêtons-nous, s'il
M. le Comte voulait
Un
magnifique hôtel aux
Champs-Elysées : l'hiver, les Champs-Elysées se
confondraient aisément avec un steppe de la
Russie
ment à
A NOS LECTEURS
Le succès
tière.
RÉDACTION.
LA
quitter le boulevard.
jouro ra-
des Italiens avait vaincu les
Champs-Elysées ; le passage de l'Opéra avait écrasé
l'Arc-de-Triomphe : victoire éclatante dont on
parlera longtemps dans les salons aristocratiques.
Mais, pensez donc ! quand le comte de Korga¬
liskoff épousa Bluette, elle avait dix-huit ans; il
en avait cinquante : la femme était donc la
plus
forte : la lutte était inégale ; deux hommes n'au¬
raient pas été de trop.
L'hiver
le don d'amener
a
parmi
recrudescence de malheureux
mendiants.
L'été, ils
de
errent dans les cam¬
Ne disons pas sa
naissance obscure : malheur
crime. Ne narrons pas comment cette
jolie petite folle, en simple robe de percale, fut
cueillie un jour, au bois de Boulogne, tandis
qu'assise sur un banc, au bord du lac, elle admi¬
rait, avec des yeux humides et jaloux, les demin'est pas
dans
les victorias. Et
bon vieillard couronné de
un
quatre-vingts
hivers, qui la recueillit. II avait été usé dans les
plaisirs de la trop bonne ville de Paris, cet ange
en cheveux blancs.
Sa fortune y avait passé
presque tout entière, et il roulait doucement ses
saisons sur dix mille livres de rente, dernières
pagnes où ils trouvent toujours chez les
bons paysans un morceau de pain et une
épaves de
place dans la
par avance les portes
action.
Un jour donc,
—
sa fortune.
Sans doute, il avait trouvé bon de s'ouvrir
du ciel par une bonne
il aperçut cette jolie tête
grange pour y passer la nuit.
L'hiver, les besoins sont plus grands ; ce
gîte ne suffit plus, aussi les voyons-nous
arriver en grand nombre dans nos villes.
Mais pourquoi, pour implorer notre pitié,
s'arment-ils de mines patibulaires et pren-
langage :
inspire-moi ! Muse, prête-moi ta
lyre ! Jupiter, donne à mes paroles le parfum de
fambroisie ! Sagesse, étouffe en moi tcute hésita¬
nent-ils cet accent
tion lâche ! N'est-ii pas
nazillard
connaissez tous ? Au lieu
attirent
leurs
de la
positions favorites
dans
notre
que
vous
pitié, ils
le ridicule, et c'est
sur eux
montrons
que
une
de
nous vous
charge d'aujour¬
d'hui.
Midas.
—
encore
—
me
est
innocente, et
pour
Clemin de 1er
arriver
AU POINT DE
DÉPART
HISTOIRE ÉCRITE A TOUTE
Ce sont là de
en sa
ces
clioses
VAPEUR
auxquelles le bon Dieu,
qualité de vieux philosophe, sourit.
Y. Hugo.
1
Elle avait
vingt-deux
ans. Son nom ? Bluette.
Son mari ? Un Russe. Son titre? Comtesse. Son
soupirant? Edouard. Le comte de Korgaliskoff
avait obéi à cette tradition de sa famille qui con¬
sistait à se marier à cinquante ans, à épouser une
jolie française, au besoin sans dot, avec cette
seule obligation pour elle, d'aller mettre ses en¬
fants
au
monde à Moscou.
On habitait
au
Paris, dans un appartement situé
premier étage sur le boulevard des Italiens.
tint
ce
vrai (ou bien mon instinct
trompe-t-il) que cette enfant encore pudique
penchée sur le bord de l'abîme ?
II dit et
s'approcha.
adoptée
L'enfant fut
par
le vieillard.
Brune, elle n'était pas, cette jolie Bluette, ni
blonde; une teinte de cheveux indécise et satinée;
des cils
en
se
0 Mentor,
Fart n'en
fait
pas; des yeux
poètes n'en rêvent point : mélancoli¬
ques à l'ordinaire, malicieux à l'occasion, spirituels
souvent, humides et transparents toujours; des
lèvres sans cesse « à demi entr'ouvertes », juste
ce qu'il faut pour ne
pas faire voir des dents de
nacre, et pour les faire désirer. On se disait, à la
voir, qu'on voudrait bien être mordu par ces
dents là pour être ensuite baisé par ces lèvres.
Des joues roses, un front candide, une taille oien
prise et cependant élancée
Que sais-je encore?
Et ces jolis petits doigts effilés et blancs aux
ongles carminés ! Et — tour à tour — quelle
nonchalance et quelle fougue ! quelle lascivité et
quelle dolence 1...
Allons plus loin, lecteur.
Réchauffez
votre
imagination. Voyez-vous
Bluette assise, ou plutôt couchée et rêveuse ? La
voyez-vous encore, se promenant dans celte char¬
mante robe de soie et de dentelle,
accompagnée
de ce beau vieillard un peu courbé, aussi blanc
qu'elle est rose? Ne dirait-on pas, à voir les
comme
114 Heures
Bluotte
proposition à Bluette.
accepta.
III
c'était
quatre ans après.
Bluette, comtesse de Korgaliskoff, portait son
titre comme si elle n'avait jama.is fait que cela.
Chaque année, le comte allait en Russie prélever
les revenus de ses terres. En même temps, il
voyait sa famille, présentait ses hommages au
tzar, et s'oubliait peut-être quelque peu dans les
:
licences d'autrefois.
La
première année, il resta absent douze jours;
; la troisième, trente-quatre.
C'était au mois d'août qu'il partait, le Z ou le 4.
Cette fois-ci, pensa Bluette, il ne reviendra plus
la
seconde, vingt
La belle saison
Mais, croquons Bluette.
fut
nous
et
traduisit la
avant le mois d'octobre.
II
pourtant,
gracieuse lectrice, n'allez pas songer à mal, n'in¬
terpréter malicieusement ce qui lors advint. Ce
une
jour, le seigneur comte de Korgaliskoff
demanda la main de Bluette. Le bon vieillard
Nous savons dit
là, de la part de la France, une défaite mén
Le boulevard
plaît.
trouvait
La bataille fut rude. La Russie essuya, ce
monde étalées
CEUI ÛD'ÁMËNE L'HIVER
vous
trop loin de Paris.
de l'exil et s'opposait absolu¬
se
obtenu par
les Folies-Ber¬
geracoises nous oblige à faire une amélio¬
ration qui, nous en sommes persuadés,
sera bien accueillie
par tous nos lecteurs.
A partir d'aujourd'hui notre journal
sera
imprimé avec soin en typographie et
contiendra, par cela même, plus de ma¬
un
rêve. Madame avait obstiné¬
son
voulait pas
ne
ble.
Annonces.
c'était
:
ment refusé. Elle
Elle
Folies-Bergeracoises, Roger
—
Boulevard des Italiens ! 0 souvenir de Troie !...
comme
les
ondulations de
corps
voudrait
son
en
costume si
sortir?...
léger,
que son
passait ainsi : au mois de
juin, Monsieur et Madame de Korgaliskoff quit¬
taient Paris. On allait à Etretat, au Tréport, à
Arcacbon, au gré de la fantasia. Dès les premiers
jours, on était de retour à Paris où le comte venait
reconduire la comtesse, avant de partir pour la
se
Russie.
Voilà donc
et
vous
une
jeune et jolie
moi, ami lecteur,
personne, dont
déjà amoureux,
sommes
condamnée à vivre seule
vingt, trente ou quarante
jours durant
Non, non ! Dieu me garde de
plaider les circonstances atténuantes !
Cependant, oyez ceci :
L'un des habitués des salons du comte et de
la comtesse était M. Edouard d'Harbonville. II
avait
vingt-sept
ans : c'est salai.
modeste, il était galant : c'est énorme.
occasions même, il était élégiaque : c'est
II était
Aux
terrible.
On dit
qu'il montait à cheval dans la
perfection : tenez-en compte ; — qu'il avait de
l'esprit : pensez-y bien ; — que son père avait
été colonel : prenez garde !
Et n'oubliez pas, ô lectrice trois fois respectée!
qu'il était entreprenant, effet de l'imagination ou
de la folie, de l'âge ou de la naissance.
Or, un jour, que, par hasard, il causait avec
la comtesse, il aborda un sujet qui menait vers
un long chemin ; il parla des ennuis de la
solitude,
de l'âme qui se fatigue à être trop longtemps en
elle-même, de l'âpreté d'une vie monotone, du
temps qui devient désert... et cœlera.
Ce jour-là, madame détourna la conversation.
M. d'Harbonville la reprit à la première occasion;
elle la
—
détourna
Mais
soir, à la suite
valse, et sous l'infiuence des frôlements
robes, des parfums et des liqueurs, il s'appro¬
encore.
un
d'une
des
cha d'elle et devenant bien triste
—
—
—
vous
—
—
,
Pourquoi ? dit-il.
Comment, pourquoi?
Pourquoi évitez-vous tout
ce que
je
veux
dire ?
Que voulez-vous
Je voudrais
mettriez
me
vous
dire,
sur
la
vous ne
se
un
per¬
sou¬
adorable coup
joue.
Vous êtes
Et elle
ami ?
je vinsse quelquefois...
voir, quand vous serez seule ?
La comtesse lui donna
ventail
mon
demander si
pas que
vent... vous
—
:
un
gros
mit à rire.
(A suivre).
coquin, fit-elle.
Roger Spadridi.
d'é¬
�ADX JEUNES RÉDACTEURS
DES
FOLIE S-BERGE RA C OISE S
*
* *
Déjà ils ont com¬
corruption en bourrant de
cigares les poches du sergent de garde, ils la con¬
mencé leur
bien,
mes
Poussent-elles
petits potaches,
ces
sera
moustaches?
de
dur_, pendant que
plus d'un
sonné ;
a
ses
son
trous¬
soirées.
avec
une
mélancolie
Et, réveillé par l'éclat strident du clairon, le
se dira: « Encore 364 jours ! »
Et il répétera, le cœur navré, mais d'un accent
«
En
bas, les andouilles,
bas !
(Zig-Zag).
D'UK
TROMPÉ
MARI
Lorsque le comte de Trois-Etoiles prit femme,
l'àge de trente ans, il ne se doutait pas qu'en
épousant la petite Jeanne de Pommefleury, il
porterait un jour, sur son front, deux splendides
bois de cerf, et qu'il pourrait arborer comme dra¬
peau un tissu de couleur jaune. S'il l'eùt cru, il
aurait sans doute préféré rester garçon ; mais,
comme le disent les Arabes, son destin était écrit,
et lorsqu'il jura devant le maire du 22e arrondis¬
sement de prendre pour femme légitime, made¬
moiselle Jeanne de Pommefleury, il se dit in petto
qu'en somme il était un heureux gaillard.
vers
bras, il la poussa durement dans la salle d'ar¬
mes.
Madame, lui dit-il, vous êtes une misérable de
trompé, et vous êtes plus coupable que
séducteur. Vous m'avez couvert de
femme, se disant en elle-même
mari allait la tuer avec l'épée de Montmorency-Bouteville, parlait de s'évanouir, le comte
prit un superbe casque italien dont la visière fer¬
mait à clef, emprisonna la tête de sa femme dans
ce nouvel appareil de torture, ferma la visière, mit
sa femme toujours en chemise dans son coupé.
Puis il monta sur le siège, fouetta ses chevaux et
tous deux
quittèrent le château, probablement
pour n'y plus revenir.
la pauvre
VII
Le lendemain matin, dans la rue Grange-Bate¬
lière, à Paris, deux agents en tournée, aperçurent
une femme en chemise, coiffée d'un énorme cas¬
que. Conduite au poste de police, elle raconta sa
triste histoire. C'était la comtesse de Trois-Etoi¬
les. On la flt habiller et on alla
chercher
un armu¬
la débarrasser de son casque, mais on
put jamais y arriver. La serrure était à secret
et la lime ne put mordre sur le fer poli. Quant au
comte, il est parti, on ne sait où après avoir vendu
son château. La comtesse se nourrit du bouillon
rier pour
II
ne
nouveaux
une
famille des comtes de Trois-Etoiles. Placé
sur
le
qu'on lui fait prendre par le trou de la visière. On
ne sait pas encore comment elle sortira sa tête de
cette mauvaise
situation.
sommet d'une
plusieurs milliers de jeunes gens sont
partis faire connaissance avec ce refrain gouail¬
leur, dont s'accompagne, au régiment, la sonnerie
colline, environné de forêts sécu¬
laires, c'était le type achevé' de ces vieux manoirs
féodaux qui datent du moyen âge. Au reste, l'intérieur des appartements répondait bien à l'intéiúeur
dite
du château. Ce n'étaient que
»
Hier
».
Dès huit heures du
matin, dans les gares, on les
venir par bandes, avec des airs fendants,
cachant sous la crânerie de leur allure l'angoisse
vus
qui les étreint,
— ou, çà et là, par petits groupes,
franchement épeurés, larmoyant sous la dernière
étreinte des parents, qui multipliaient à l'heure du
bahuts, anciens prieDieu, salons gothiques et salles d'armes, véritable
musée où se trouvaient entassé : casques, cuiras¬
ses, épées, dagues, masses d'armes, armures
défensives ou offensives, et tout ce que le comte,
en
antiquaire passionné, avait pu trouver de pré¬
cieux dans toutes les boutiques de marchands de
départ les recommandations, les conseils et les
baisers mouillés de pleurs.
bric-à-brac.
Puis le voyage, lugubre ; puis l'arrivée, qui l'est
moins. Cette année, en effet, pour la première
les deux mariés vécurent
fois, d'après une récente circulaire, la musique du
régiment vient les chercher à la gare, pour les
escorter jusqu'au gîte redouté, la caserne.
Là, pendant trois longues heures, ils font les
stations obligées, dans la cour, sous un feu rou¬
lant de quolibets, — dans les bureaux du major,
où on les classe dans leurs compagnies respecti¬
ves, — dans le bureau du sergent-major où on leur
demande leur métier, chez le capitaine d'habille¬
ment, où a lieu la distribution des effets.
Ils achèvent leur journée par la visite du lieute¬
nant de garde, le speech patriotique du chef de
en
ville et
confortable, mais pas trop cher ;
la connaissance, en détail, des adjudants, des
fourriers, des anciens.
VIII
MORALITÉ
filles, ô mes lectrices, n'épousez pas des
qui ont la passion des armes antiques.
Jeunes
maris
De Viel-Castel.
LES COMMANDEMENTS
D'UNE
III
Pendant les
d'un restaurant
le
que son
époux allèrent passer leur
splendide maison de cam¬
pagne, située aux environs de Paris. Le château
de la Tourquipenclie était une ancienne demeure
seigneuriale, appartenant depuis des siècles à la
bataillon, la recherche d'une chambre
un mot, avec un calme effrayant,
porte au marquis qui eut juste ìe
la
temps de se sauver ; puis, saisissant sa femme par
m'avoir
LA VENGEANCE
Les deux
a
Sans dire
comme
lune de miel dans
des conditionnels
que font les maris
à Paris, partit et
honte, aussi je vais prendre ma revanche. » Et,
Un Ramolli.
«
ce
un voyage
revint assez tôt pour trouver le marquis de la
Moutardière et la comtesse dans le simple appa¬
reil d'une beauté qu'on vient d'arracher au som¬
votre infâme
péchés mignons,
digérant les oignons.
Doux régime, mes amis,
Que n'y suis-je encore soumis I
Pour ravoir pareille aubaine
Que je donnerais, sans peine,
Les quarante ou cinquante ans
Qui fatiguent mon printemps.
Jô ne sais pas qui vous êtes
Mais j'aime assez vos trompettes,
Mirlitons de galopins
Qui deviendront des lapins.
bas !
II fit aussitôt tout
»
De tous les
en
de ces dates funestes),
lettre qui lui dévoilait la triste
VI
en
En
bas, les andouilles !
avons tous
une
:
pousser vers
Vous êtes dans le passage
Où l'on fait l'apprentissage
En
vérité.
reçoit
trompés, prétexta
«
la tombe
Où tout court se penche et tombe,
Et sans qu'on puisse y surseoir.
Alors, pour toujours : bonsoir.
«
jour (nous
il montra
enthousiaste
vieux rongeur de Temps.
II offre plaisirs tentants
Un
meil.
ininterrompu jusqu'à l'aube.
petit conditionnel
ce
qui
compagnie à sa charmante épouse,
pendant qu'il irait à la chasse ou qu'il monterait á
cheval. II profita de sa liberté et n'eut jamais le
moindre soupçon, et peut-être les choses auraientelles duré un certain temps, si on n'avait mis la
puce à l'oreille du mari.
d'un sommeil lourd et
—
si aimable voisin
sur un
devait tenir
les bougies s'éteignent, les bruits
cessent, jusqu'à ce que les anciens et les bleus
s'endorment, la tête sur leur étroit paillochon,
pénétrante;
bien vite
quel bonheur le marquis reçut du comte
d'avoir mis la main
le comte
qu'il y songe, effaré, l'extinction des feux
le clairon de garde s'est distingué en
fllant les dernières notes
Que c'est là traîtresse invite
vous
désormais
Tandis
cœur.
A tâter de la science
Pour
de
avec
l'invitation de venir passer ses journées au châ¬
teau. Dès les premiers jours, le comte se félicita
milieu hétéroclite et braillard, au bruit
sera
Qu'au terrestre paradis,
Nous reçûmes en maudits.
vous saurez
menus morceaux
là, dans cette atmosphère empestée, dans
des airs
d'opéra chantés faux, et des refrains immondes
hurlés à pleine voix, que le bon jeune homme pas¬
Mais l'Amour d'un air moqueur,
Rit de votre impatience
Hélas I
anciens.
remplis
le bleu immatri¬
C'est
ce
la sainte-barbe
Faisant sauter
de
seau.
Epaissit la jeune barbe
De
ou
cule à la hâte les
Je suis sûr que, chaque jour,
Vous regardez si l'Amour
Qui
œuvre
tinuent par une distribution en règle aux
Les quarts circulent et s'entrechoquent,
de rhum
Eh!
voir
Les voilà dans la chambrée.
COCOTTE
premiers temps de leur mariage,
en
fort bonne
intelli¬
Puis le comte s'aperçut que, peu à peu, le
visage de sa femme prenait un air morose. II se
dit qu'il ferait peut-être bien de la distraire et il
chercha si, parmi ses voisins de campagne, il ne
pourrait pas recruter une société de marque, qui,
en se réunissant au château, ferait oublier à la
jeune comtesse, habituée aux réunions mondaines,
la solitude de la campagne. Mais tous les voisins
se bornaient au marquis de la Moutardière,
jeune
gommeux de marque, dont on apercevait la de¬
meure au-dessus des grands arbres du
parc.
gence.
Et aimeras
Un
parfaitement
pschutteux tu choisiras
honnêtement
Et tromperas
Les
;
;
Et
plaisirs tu prôneras
prêcheras à tous moments ;
Ta
présence imposeras
Au
«
vieux beau
»
despotiquement
Un hôtel tu bâtiras
iv
Lorsque je vous aurai dit
Dîner fin adoreras
le marquis de la
Trois-Etoiles, se
longue date et n'avaient jamais
que
Quoi qu'on dise prochainement ;
Moutardière et la comtesse de
connaissaient de
cessé de
s'aimer,
vous ne vous étonnerez pas
de
Le
champagne célébreras
un parfait événement.
Comme
;
�A
»
Pique-Cailloux t'en iras
Te faire soigner doctement
Promptement
en
» »
;
L'idéal pour un
grâce et
reviendras
Pour consoler tous
Un prince raillait un
jour un de ses courtisans,
qu'il avait plusieurs fois employé comme ambas¬
sadeur. II le
comparaît fort élégamment à un
condamné à mort, c'est la
la beauté.
non
bœuf.
tes amants ;
Je ne sais pas à qui
je ressemble, répondit le
courtisan ; mais,
Monseigneur, j'ai eu l'honneur
de vous représenter en
plusieurs occasions !...
—
Puis
au
Comme
Le
Paradis monteras
sainte, dévotement.
G.
des
Hon.
.
jeune homme.
Ah I madame, ayez pitié
de moi 1 si vous saviez ce que je souffre !
La dame (avec conviction). — Mon Dieu, mon¬
sieur, purgez-vous ! l'amputation ne sera peut-ètre
pas nécessaire
—
O
*
Laurent-Goutan vient d'éprouver un accident
a permis de dire un bon mot de plus.
qui ui
Roger Spadridi.
Ni tre ami tombe du haut d'une
échelle, L rusailà le ramasse, et voyant qu'il ne
s'est pas fait le moindre mal :
âfn qui
la
ii
—
qO qo
se trouve
Le ciel t'a fait
II
—
m'a pas
ne
Laurent
avec un
une
pompiers ont
grande fête de leur digne
solennité la
avec
palronne, sainte Barbe. Dès le matin, les habi¬
tants de notre paisible ville étaient mis en émoi
par les batteries répétées de nombreux -tambours ;
ils ont pu ensuite assister à la revue passée sur
le Jardin-Public, et se lécher les lèvres en pensant
au
repas qui devait avoir lieu le soir à Dhôtel des
Princes. Vous dire la quantité incommensurable
de viandes qui surent englouties serait
peut-être
de mon devoir de reporter, mais je
préfère vous
narrer une petite histoire
que j'ai entendue racon¬
ter par un des plus vieux et des
plus fermes sou¬
tiens de la pompe.
11 y a
longtemps de cela, dit-il, je ne faisais
partie du corps que depuis quelques années seu¬
lement, et je compte déjà plus de vingt ans d'exer¬
cice. Nous avions pour capitaine un
jeune employé
des ponts et chaussées qui, s'il
éteignait bien le
feu des bâtiments, excellait à allumer l'incendie
dans le
cœur
de toutes les femmes. II
ne rencon¬
tra
jamais de rebelles parmi les épouses des hom¬
mes de sa
compagnie. Une d'elles, cependant, la
femme du lieutenant, résista plus
longtemps que
les autres, et demanda, avant de
céder, une
grande preuve d'amour au galant capitaine. De¬
main, lui dit-elle, demain, c'est la Sainte-Barbe,
mon mari s'absentera toute la
journée et, ci vous
voulez, je vous attendrai le soir, à 6 heures. Bien
que cette exigence le gênât beaucoup, le vaillant
capitaine, vaincu par son amour, dût s'y plier.
Le dimanche, au moment du
souper, nous
fûmes un peu étonnés de ne pas voir venir notre
capitaine, nous attendîmes un moment, mais
comme
il
se
résolûmes à
faisait par
nous
trop attendre,
mettre à table
nous nous
lui. Notre
sans
lieutenant, inquiet de cette conduite étrange, nous
dit qu'il lui était impossible de rester
plus long¬
temps dans l'incertitude, et qu'il allait immédia¬
tement courir s'informer du sort de
son
supérieur.
Hélas 1 trois fois hélas I le traître était bien
peu
digne de l'intérêt que lui portait son subalterne ;
car la
première personne
qu'il rencontra en ren¬
chez lui, ce fut, vous l'avez
déjà deviné, ce
trop volage capitaine !
trant
fut le
Laurent Goutan.
belle grâce !
fait grâce d'un échelon ! répliqua
sourire.
Dimanche dernier, nos braves
célébré
*
*
*
Ma
foi, amis lecteurs, je ne sais pas trop de
quoi vous entretenir aujourd'hui. Notre pauvre
Bergerac, ses foires passées, a vécu dans une
morne indifférence, et à
part celle du théâtre, tou¬
tes les chroniques ont chômé. Comme ce n'est
pas
mon fait de vous parler des
représentations dra¬
matiques données en notre ville, — un autre s'ótant chargé de ce soin, — ma causerie sera courte.
II faut pourtant que je vous dise ce que
j'ai en¬
tendu l'autre jour chez un de mes amis,
horloger
bien
connu
L'autre jour, au Jardin-Public, Mathieu SansSouci, dont l'esprit est bien connu à Bergerac,
entend, derrière lui, un de ses amis qui le compare
au
bon Lafontaine
D. Tockay.
de notre localité.
qui peu vous intéresse¬
rait, obligé d'attendre quelques instants, et cau¬
sant avec une gentille demoiselle de seize
ans,
Marie, la fille de mon ami. C'est qu'avant moi était
un
que
— mais là, un de ces bons
les bienfaits de notre moderne
civilisation n'ont pas encore atteint, et qui se
figu¬
rent que le prix des choses doit être en
rapport
leur
poids
ou leur grosseur. Sotte maxime,
industriel comme celui où nous étions
alors, peut amener à bien des désillusions ! Fidèle
qui, chez
un
néanmoins à
préjugé des champs, le vieux bon¬
je vous parle, marchandait—oust
les paysans marchandent — une montre, dont le
volume, considérable, vous eût effrayé.
Ce gros instrument, cette montre,
que je n'eusse,
moi, acceptée à aucun prix, lui avait plu au pre¬
mier coup d'oeil, et il la voulait absolument, sans
ce
homme dont
désirer toutefois faire
une
trop large brèche à
sa
bourse... Ce dernier mot est bien la vrai, car le
paysan, qui n'avait point de porte-monnaie, tenait
à la
main, renfermant quelques écus, une vieille
pochette en cuir "dont la crasse était le plus bel
ornement et qui datait sûrement des temps anté¬
rieurs au déluge — si l'on travaillait les peaux de
bêtes à cette époque !
Le prix, après discussion, fut enfin définitive¬
ment fixé, et notre homme remit sa bourse dans
l'un de ses goussets tandis qu'il
plongeait dans
l'autre la nouvelle parure qu'il avait acquise. —
Et puis, tout naïf, se tournant naturellement vers
son vendeur pour lui
désigner une petite montre
à répétition que Marie avait dans les
mains, et me
faisait admirer
en ce
moment
:
Au
moins, lui dit-il, me donnerez-vous pour
drôle, celte petite-là par dessus le marché !
Je partis alors d'un franc éclat de rire, au
grand
scandale du brave homme, profondément étonné
d'ailleurs du refus que lui formulait mon ami
l'horloger.
C'était, amis lecteurs, la double naïveté que
j'avais vue et que vous trouverez dans la demande
de cet homme simple, qui provoquait ainsi mon
—
THÉÂTRE DE BERGERAC
brave paysan,
campagnards
avec
:
La
comparaison est d'autant plus juste, ajoute
Mathieu en se retournant, qu'en ce moment
je fais
parler une bête !
—
J'étais là, pour un motif
entré
*
mon
Une
représentation de l'opéra-bouffe
Poujade, La d,000 et deu¬
xième nuit, sera donnée sur notre scène
dimanche prochain, 12 décembre, par la
troupe de M. Andrel.
Nous empruntons au Petit J-ournal les
lignes suivantes :
de M. Lucien
L'Opéra-bouffe : La Mille et Deuxième Nuit, de
MM. Paul Burani et Pierre Richard,
musique de Lu¬
cien
Poujade,
été joué hier
a
Château-d'Eau.
façon bouffe, et mêlant
au
Ces trois actes traités à la
l'originalité fantaisiste du boulevard aux situations
comiques d'une légende d'Orient, ont été très bien
accueillis. II y a des mots, des couplets, de l'action,
bonne humeur communicative, quelques gauloise¬
une
ries.
Bref, la
sauce
légèrement pimentée
que com¬
porte une opérette selon la formule. La partition, due
à un jeune musicien dont c'est le début au théâtre,
est
traitée
habileté et
beaucoup de talent. Le
plein de couleur et bourré
d'oppositions prouvent grandement en faveur des
aptitudes théâtrales de M. Poujade.
Le succès a été complet.
final du
2e
avec
acte surtout
Léon Kerst.
Tout fait donc présumer que la Salle
sera archi-comble dimanche
soir. Avis aux amateurs du rire et de la
des Ouvriers
gaîté.
€:
IMPRIMERIE NOUVELLE
Grand'Rue, 15 et
17,
BERGERAC
hilarité.
Mathieu Sans-Souci.
JstUs JUtffemsises
Sur le boulevard Victor
—
—
—
—
—
Vous
savez
? X...
se
Hugo
:
marie I
ÉCHOS ET POTINS
Bah ! contre
qui ?
M,le Z..., une jeune fille charmante.
Un mariage d'inclination ?
Eh ! eh ! je ne sais trop, elle boîte
légère¬
ment.
—
«í=3á=èctí=S^il=ïstií=:a:3=í»
Un
mariage d'inclinaison..* alors?
CARTES DE VISITE
ANNEE
En
typographie
—
—
En gravure
—
Un homme
d'esprit avait, l'autre jour,
au
caba¬
ret, une sotte querelle avec un de ses amis.
En sortant, quelques instants
après, il écrivit
avec un charbon, sur la
porte de Rétablissement
Ici l'on vend les Folies en bouteilles.
—
1
4887
sur carton bristol..
sur carton
.(,1e
ivoire....
cent
—
les 50.
—
relief, s. cart. mat ou ivoire .le cent
—
les 50.
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00
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Imprimeur-Gérant : L.-P, BOISSERIE,
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Title
A name given to the resource
Folies Bergeracoises
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The nature or genre of the resource
texte
publications en série
Spatial Coverage
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Bergerac (Dordogne, France)
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Sem : Goursat, Georges (1863/1934)
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A language of the resource
fre
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Bibliothèque municipale de Périgueux, P2-798
Medium
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Identifier
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ark:/30098/hhtx
Subject
The topic of the resource
Politique
Bi-mensuel
Satirique
Description
An account of the resource
journal humoristique bi-mensuel
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886
Temporal Coverage
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18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
44 cm
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
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Bibliographic Citation
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I S S N Num 2505-1415
publication en série imprimée
Dublin Core
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Identifier
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FRB243226101_P2-798_1886_005
ark:/30098/491g
Type
The nature or genre of the resource
text
Title
A name given to the resource
Les Folies Bergeracoises
Subject
The topic of the resource
Bi-mensuel
Satirique
Politique
Description
An account of the resource
N° 5, 1886
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886-12-31/1886-01-01
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
4 p.
Language
A language of the resource
fre
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Spatial Coverage
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Bergerac, 24100
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Goursat, Georges (1863 / 1934)
Contributor
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SEM : Goursat, Georges (1863 / 1934)
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
Rights
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Source
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Périgueux, Médiathèque Pierre Fanlac, P2-798
-
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c959b2014dc3630f85d0d62fa8602168
PDF Text
Text
Ie Année
Numéros
Prix : 10 centimes
PINCÉ
!!! ( 15
JUIN
1885)
�IOTRE
l/totlS donnons atyourd'/ui iacéar
jpe de dlï(CÁaÇÇiïud, ancien commissaire
depoiice etye/jerac^ do/d voicitinc eaurie
ne
ftce
Z/Zi.
oiopcaytipuoJ
Ça/net Cnry^audosa. nédîeriZ/Z
~
f/ieux íe S rain 73f/,
est fapetit-fits.
deJJi> Unisson,anam maire dancien,
1(1 ftldernièresfeuiY/es,
jtite nousjette au vtsaye
eu
etnojardins,
j
^
fa nature a dydreoètsi son manteau dor
írtini, s impréyneni fantement des me/ancoties aidomnafas. (ZQans faj ZanpuaxJ
ft
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'Z
at/ees
f
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tapissées de mousse oaorirn/ej te
/po/ozijzne /Z/ther s'avan ce,youdre'de
Sous-yn^éfa, dsJBr/yerae en 784-8. J<m neiye,yrefa/fant sous son ey/rij man/ara
fa/fa'deyivrCy courde'sous fapomds
desytityois /JZtver, noici/(étinzec /
pere,//t. /erdt'naiué C/cyt/irud, e/aitcépt
de Zittaé/on de/a parde nii/éo/ta/e de
(t/isc/im/e au Médire
\pjouait
fa êrtWta/ttJ/
\ tais
trnnyui/temeniassis au f~
vaixiè^f^yfiesjâuteuiis d'ordiestre, /cou f/ívt avec d/tices notre tezicr de Canner der¬
CûUÍèfldC fuiefaintitié alors,
leyrnnd morceau c< BttVÛttójUStpl fit Z/t
nière JjL
iie/yuanct tmt a couy un de nuis voisins
ryarde,yiiiieiiXy etme crié dtríì/e ■J?'/iuer,
avason
dipou/esp i/ír/sit son fpée en /SSdytpvà
corteye deyfaisfas, de powyoiné- « Ji/onsceuip vous ètes un otrate/
/'arrestation dé son éeau-yere/i'iSvisson.
joies trio/antesyour /es uns, de deu/ears et votre conduite estinioteraéteje-iefa,
*3//.
dé
Joiiyronccsyour Tes autres/ é'Jfaerput Supporteraipits ptus to/yte/nps //•« - Cí.
Çdirieis/ia/jÇrudp/nìtses
é/tr
des au /oé/tire dedfrperirc. j/a/fa en
ramène
/attifapue/'on réZè/rc devant fa. CommeJe me récriais protestant de mon in¬
*
juiie / fa
"dtí/lir
vies. nocence, dreprit; « èrtyeZ - vous sueJe n'ai
dzifoyerj
ris^ /it /a ctmyvnyne de 73Jû
auyaitiate/ziezzt
aés/vn
et fa /e/e de ceru au/ne
téftet/dityr/sonnéer.
Cn centrant eu
sonty/usj fa de/c ptu remarsuéft/e vous é/'i-x venu adessein
f,r* /{/...
Z
idrancc. u re/otamt sa/amide â etnii
dus ///torts ^
vvusp/acer aux cotés demaj-em/ne,pour
de*
/>/
'
a-ete
ciyiordctzux. Cn t3jyy CÁiìdéaudynt
Àe/ireuse/nent-rAot'jiey cette continuer tiutdijne ntaneye pue ooi/snoex.
nomme secrétaire da comité senaforint date du deux novemfa'e. Té/vant dr zjvus ^
commence'deyt/is pue/pues mois Z Zt, emorej
répitétira/n de Çironde. Ûn saitpue/es jeter dans te tour/i/ton des réunions men- jivous
éorni ddes dem s/rations
putdre candidats repué/imins passèrcitx dainesy au seui/dè /'ifioer, nous nous ard¬ p/ato/iipues ; /nais pas du tout, tout d
cens
me
-
r.
.,
r
„
.
<<-n
"
vous
au
ts'tour de scrutin
ions
.
cdZprès /es efactionsy s/a/fa/idde¬
meura an
comité
y continua fayrvpa -
yande repulucainepour /'//ertion de dit.
/Zt. Gracieux et
Ûr.
tiitynccZ,yi>iyíia?7teiits.
i'envoya, ensuite d/tterijnacJ^ironitè),
sériéfaire de ta mairie,ysur reojaniser /'administration de cette commune. ;fa
ycir
ce/ix
donner un souvenir attendri d
y/u ontyariaye nosjiues etnos eta: -
Ci /e vieux cimetière
c
en
ezttnant
on
vous
ti/i avexpris
fa
iaiite, etje viens d'ayeirevoir i/y a
pue/pues instants votrepied puiétendait
yrius i.
je
t'teure
ex,
rêveiite
d'un
cvmme
'est sa
Je/ à~<fai.
d/irant f
j
anime
atocsjit
Zony ciSsotiyiSJentent
travers /es at/eésfzetr-
tes siens.
—
da vérité
estpu 'en entrant
j'avais en ytfatpousséde fa main épou¬
se
de mou adversaire/
/nais réfaituni-
anneéyitr iie/roy rares
paeme/itpjour/ne favrer u/tyasseye car
visiteurs, cirru/r nnejfauie cai/zz-essee, res- fapresse étaityuande,
maire riait d/ced: etfes ad/oinò demisyicfaeuse, sous tespas de /ayte/te routent,
pu'a m onpieddéfait tienpossfonnaires,
avec
'éte pueje /'aiytcuésous tefa/faut
deSyfaoijsementa sourdsj /esjèv//fav
ét/porM a iffieriynœe de teert/fas cottps amoneefaes. doutes fas mains jont dar de ced/c darne, mais c était cerfaine/nenAs
a facécccièesi ;
i/jét //iriser /es eco/esJii yrrs de^Zrnrs — /es dernieresj donttes con¬ sans mauvaise ihten/tòn. /òz-t-de
teurs anémiées eiyatottes ont
in'noeence
yynimer te traitement du vicaire, rieje nepouvais taissen sans z epovtayfae
sot//(sa tS8fy
éfjt/ievemére, i/Jutnommé Jrante. des doses fui vont mourir /d/ayéisj je /'upostryAc vétentente de ce trrridteS"
commissaire
syédai d j(eStoy- fa-Jkvide, dans ta tfancieur des martres nii/eeiides mtlii puiWi/fait d'tv/itpriìx voir en moi
ou iidecouorfa te
des
de
Janto/ix scandate puù semées sonne, paiement unyetitrice ar¬
Jémi/te. tien 'esx.
Ji 't tant de éruit tans notre reyion..
yentin: test céitti deyue/yee êéóe/ùieon- pa/par uteyarde pnejai dit ah desanioueée J2 d/cemire t&8%>, i/efar 't nomme' scient des cfases de ta mort it fitpoursuite re/tx
carufyen e'taispas du noméne^ /txj
commissaire
d'un
ìnserte
et
armes de madame X..... avaient-eu
dçpoo/ieo d~-(a. tie'oie et fa
y/i/"efforce detuiec/nyyer. si¬
fO ai/rit 7384 itvenait en fa
tes
mi/nepua - ye/ts oiseaux trouétéspar cet envatdsse- te don d'exciter fa Convoitise de nomirenx.
t/te
òTiSeiyerac. Z/apèiit Jans notre vidé ment de leur domaine ordinairement si/~ soupirants. de m'érfat donc,tejerc/nenf ecta/p-despaonnes très-usites / mais, comme pitisiíte. uotètent de ci, de id avec despé¬ jét « é/ïonsiettCj vos supposiitozis sontroznpdnid a
tement
dépourvues de^/onde/ne/ztje a 'aija. 'evtyrppfaèfa dans sonyuxys,tiia/- piements y/faroiuÁésruais
essaye, etpuipfas rsiy 'en'essayerai
yTxud a eu a sutir ta rancune deyr/etp/M /Z/entaifi, fa ofaux cimeâere retamiera
dans iesi/enee etpeut-être tétas idans
Jamais dejatre fa cour a madame votre
yVersounes yen ont tout mis e/iceuereyvur
nomme
tv/v/ies
~
_
znott^
av
y
un
amoureux
epouse
aussije vouspr/e de cesser ce/te
ridicule,pui nous rertd fa risée de
sa
-
(Z//es ont réussiett/aÇ/nid
dertánwtd fa /doctoJré
téyáiivyartr'r .
t 'onélis
a
tesse sonnante
aéeniery com¬
missaire
deyo tire a
-íi/ourne.
ÛiáÇbrui/avait ju spjktreyarmi
nous
yucijrues aoifj pvtfareyretfantoioems//.
Àtjoitrd'faiì itse revêt de tris¬
,
C'est
?
sajfate n~/ui !
x
comedié
Joute ta
sa/te ri) ù'avais
dyeine acÁvtzé,
putit reprit, encore ptrts tant t cc Xâtrcz
impudence est rare - donimen fpottvex. croire
pMJg fí '*ipas remarpué vos
�flllees aY ae/iuf cozjYtzutelles fi/tzts Y/xua
lHláYYlYYY Het/V
YY/YY
.
Yes
yO/z/'J et z/ne
YzïYvuz'í
zYs
puzzr
■=~Yr///r/zY
yz/'o/a/ureyz/z/s YuzzyYr/pps z/c/z/s m'e/i
rr/ídreZ
razsazz. vs
YfiM**/ /Vi/uY Y/aypz/YYYaazzzm
? Yh !yzirííeuJ //SíY
ì)Yl!lîíûù'iYy
fJY/imny>cW(iYY ^YÎ/ììI^ûyY'iYj Yejv/tYYYisse su
zYupz/YYzc; ztvec ses i/tíe/zuìn/iYYes zziYezuY/ouz's eY
jztvztzzY.
tfij/ez stase
7'z'Y /Ye Yan
e/Ye /YatY
êtrejY/wiettíe Yct
fiazz/We
/yttJt Y uze/zY /Ye fitzt/ez' a/zf/tzYYte- YY
jvzirz'e szzz e/ife's/ras sa/y/zzts y/z/zYf/zzY /fiesa/z
zzzYeYYzye/zY /tut znaYyzz'eY/e'
/ceziz-;
feoin
du
poete
Virer sz
/nz'ezzjzy/zezzzac'jpY^ ea/zzzzze
ye/íé" urzzstyzzzs yzze eeYel/zYfile alose se
Y YY sYûzi/
Sau stzie
rtzpyze/er- Azzs ces^/fttYs y/te izazts
raun/tzssrz
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Title
A name given to the resource
Folies Bergeracoises
Type
The nature or genre of the resource
texte
publications en série
Spatial Coverage
Spatial characteristics of the resource.
Bergerac (Dordogne, France)
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Sem : Goursat, Georges (1863/1934)
Language
A language of the resource
fre
Source
A related resource from which the described resource is derived
Bibliothèque municipale de Périgueux, P2-798
Medium
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papier
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A legal document giving official permission to do something with the resource.
Licence Ouverte 2.0
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
ark:/30098/hhtx
Subject
The topic of the resource
Politique
Bi-mensuel
Satirique
Description
An account of the resource
journal humoristique bi-mensuel
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
44 cm
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
Rights
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Domaine public
Bibliographic Citation
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I S S N Num 2505-1415
publication en série imprimée
Dublin Core
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Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
FRB243226101_P2-798_1886_004
ark:/30098/492s
Type
The nature or genre of the resource
text
Title
A name given to the resource
Les Folies Bergeracoises
Subject
The topic of the resource
Bi-mensuel
Satirique
Politique
Description
An account of the resource
N° 4, 1886
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886-12-31/1886-01-01
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
4 p.
Language
A language of the resource
fre
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Spatial Coverage
Spatial characteristics of the resource.
Bergerac, 24100
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Goursat, Georges (1863 / 1934)
Contributor
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SEM : Goursat, Georges (1863 / 1934)
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
Rights
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Licence Ouverte 2.0
Source
A related resource from which the described resource is derived
Périgueux, Médiathèque Pierre Fanlac, P2-798
-
https://petrocoria-num.perigueux.fr/files/original/c9b85986be28c0e6d6b0501f45ad4a6b.pdf
fd5d40f5b74f4e10adf243386cec7890
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Text
Ie Année
Prix : 10 centimes
JOURNALISTE ET POMPIER!!!
Numéro 3
T2L
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�de iíí Gironde et de ta Peti te-frìronde
OTF^E 4)AÍ\GE
J
nez
liie': i/cAoisit
J zJìir te vj a su copier,
tepiton d'vnjournaliste
d'ttnjierpompier,
t//J/aire a /ajois la c/ironìyre,
-dj'incendie
et
lésait divers.
Jest rut nez canut/ard, mtiyue,
j/udpAce oupar te travers.
^Corjyue t'en voti suryuetruepiste
don
maîtrepartir Aanfiepied,
des utu
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van tens
te /onr/ta/Zste
-.zJitu/res admirent
/eponpier.
comme
deptds une annee eatterej
depu/s une anneeyJauats vécu deux
directeur -jerant
J/fi O/te Zrozes.
9/i/stard ta
Zsmpiers
/lettres de /a semaine en sapresenceJ-
Compaynie des osa- niaisjttsytie /aye n 'avais eedrtrye
peurs
j Zterni reoryerniseé,
ta vii/e te nomma CZapitar/ie.
Ce/mm e
d/e, foirisen e/rejreniissttrt. -Je/a
eanrifí/sstiis
pìntjontier unjotirnrtí dans nat/v toca-
marlìafyue i'arltsle
Zt l'etetjnóir
en
avec
e//e,yue /esparo/es instynjardcs
de /a conversa//on /cttur/e.
£//e via/Z Z/t ce so/r-/ci, /eatisivi'
tia/ J/i Cú'oxes en
de/end'avecenery/e tait a Z'amourj etyedeva/s ctw/er ce
/ej intérêts etconnaissant San devoir W? .soir- ta
yue/yues uns desptus doux
directeur
-jjrerrtnt dr/ /Jour-
ya/rrna/rste jait art iesorn pryer de sa
moments de rua ure-
û/t /comme r/m 'en souvtc/ri tien
personne.
(Zom/ne Capiiat/ie i/Jzit Sonpossi- e/teore de ce cdarmaut crtysuscu/e.
tte
pour-se montrer dryne dupaste Ao~ cJeu/avec eddye utepranteuais atrus
uorjtyrie ytte sej compatriotes triant no/reyrandjardi/i, e/sausrien dire,
je /triwon/rats dr/peste^, dy/rc/yuespas
denous,
dejo/ts oeittetsiy/umeysara/s-
Jaieui sepeueder amor/reuse/nenttes uns
Site sa va/ettr ayantJr/ipre/rve,
///e/etnc/rait
eya/ement
—Se traiter.
afrtnjerwe venue
(ji
/Jeu at't/n vieux Adiimerti.
<sSt ,/saryuçiyr/e aventure triste,
/Jtincendiait san yuartier^,
vers
'Jusleurs lettres ndressees au Au-
Ùt t'éteindrait comme/s ompter.
a
itt rédaction désordres
Ouest
-
»
mains se rencontrèrent
a/ya///W/rai ta,
Capitaine des pom-
pie/V de nutre vi//e\
J/e a TZar/esteux jCCArtrentep A?
d~detarepri¬
fêeryerrtcatóesjj vt nous nous e/npres • ses. de tressaii/is c/rayt/ejois, etedadjaire droit a te/rr demande, yiejvisyJtoc/mai doucementmatéd
sans
d'ayo/trdd/u .
vers
/a sienne, pour
respirer dep/us
prés Cenivraniprrytr/m
)cAarpe déditf, c/ie Zroz&O
Wireriearv-yerant Wu <c f^èpublicàiii
du Su A
-
une eau
C\ozEss
) Vus damans
dtya íiuynespar i'/uoniCe
yeste eiati tout
du soir.
de
dans notre d/t
Elie
rosee
notreyo/rmrït no/rs de — t/n aveu de mes arde/rts désirs.
mandent
serre jt/r
Jcs œrZ/ets. ^Cite en vou/utrm ton tesjètes du
Jj/manc/te d~J>eryerac. — Jtorts remer¬ yuet, et nous nous mîmes a te erretttircions tien orneerement nos-Wecterrrj de
dans une òordure épaissey vit rtov
reau
j'interesser
Z/n/aur en tanty.ejournatiste
r/e
tes autres,
Pl\EMI ELAISER\
e/i eue/ure. —dt 'miia/s
desa //onde
mes
ceit/c/j/.
(puan d nous nous re/evd/nes
yue/yuesJieurs s'ec/ap'yM'í/ûtmét/YIJ -í/ij fíotiû/r pere/iu de triyerie odorante dans /a'ûitrs a/met, c/e/wer rít>
yue//e e//e ava/t, t/evtwz moi, cac/ie'
te/us /es i/e/ds r/es ete/sse rejo/merdr jon
vtsaye . JZ'airamasse resy/enrs, et
tru/a/d.
'/on/te*'///'.
d/ïti/sJever/scr/ré a a/s tr/nr
tous tes deux,
je tes aJointes a mon
//forts eontinuamej
Coyue/icos-,.
notrepromeaade
Juin Af/A, J/Zî Zrozesy demeurajus- rr/sen/ un des seere/s de/non cœur..... pour aZ/er admirer /es etarmants oiseau/
CJe/a/t un so/r de d/ta/. Ta na/ure de mes
yu'en Af/Cpoyue a AayueZ/e sascer/r
capes. JZ/s e'/a/ent Ai, tous me,o
j'etant
marier
aveu r/a
de ntv rampa -
e/ci/t
trro/es ///tC/uÁs
terminer
ses
ZZtc'j/rnc//er, //vt/tAs yoyeux. <Je/e/a/spourmapar/p/us
rZ/ttArs
co/Aeye dad puepersonne: riwa/s au cœur /&
a/r
J/yesyertrc.
c/fores avoirjaitjun vo/an'ai i/Je rendita t/vrWearar
tarr
Y
e/Je/ty • /ous /es d/r/ua/ns e/a/eat Canards,yrtis, sautiiianisy Aeureux :
patrr
e/uWrer AapAarmac/e.
jut/iJticZron dituyrauddevoir accowp/i
Zju d tas
£ vint/70/ie fi//e crue/e n 'oud/te-
^Jartt/idai ce/te derniere uii/e tZsc'/a- raip/as, e/Ze ava/t sur/es seu/s tep/us
/fit
h traçai, vu iine tarda
pas â /eau evyuedeotyue /a /erreaitya/na/s
air
o
je marier.
Û/trye de ue/rdre sap/armante^ sa
jante
ne
tpue/yues rvs/av/s /y/res s/eaarr/ve 'e
coyrredco/m'appar/eaa/t; //
est
toJours rimoi/
por/ç.
Artperme/tan/purs dJexereer~
ce
Si/e vint. ^f//e rruait d/jt -acprC
jjrprjsian, i/revint, avec torr/eSa
das
dtptirs yrre/yuesy'ours dpe/ne;
Jcrnii/Ze, demeurer d ZZeryenrc.
ectte
/ZZAmstear //auneuidteer
O/recterrr
t/tyd/a vo/jt r/edt naturepa/ Za/JL
deux d'entre eux, des
poux, se íeepue-
taieniycetinenuypercAes
nid ou /formait,
au
/orddu
terreJamit/e.
Jïous deux aussij etie etmoiy nous
tes reyard/ons;
cote dcotey si/encierrK.y
envie/te de ter/r tondeur.
~Jïnepuxj
Supporter tory temps uneparer/Ze situ¬
ation
.j/iientot,prenant douceme/tAj
dans mes trins
AJo/te te/e de ce/Zes
m
yueJ'aimais deyjurs une AeureÒpeiue,
Jepostr/s mes Zevres sur jœjoue
Zile ne res/stapointy etpendantyue/yUes
instantsJe restaiy iei/e eia/tmon
*
�sachontptij s/dèAi/t/áne tissantfat fa seu/e reponse. fa//can. // jojner assez depaizipour deux. Jf/aù
ì/e/a/t trop
Otins savons s/c 'est /'amour au
orpuei/frux pauesoy/feput'p'e respira/s, oup/utoA,
Ae du*parfum
dey/euzspu'eA/eavuù /aja/iè p./i apousse eefte cAiu/eenftn/ menef/erj ÌAyouaitdu v/aAozi sur sens
lûvis /n main
uneps/aisanter/eparef/Aynozis d/sons pfacespu/Aipues oudazis /es cafés^
^fAiors ou/v/reat /es aveux' AiAiu pfaisanterie car an nans a appris pie, enec/utnipe d'un znazpre sa/aire. ÛA
fa nuitportant conseffj e/fc s'efaìt ma¬ o/u) Sien
dif avec /e /avisapepassio/izie'desa nzaijpre /car on donncy/o/f
riée
fe
tenafe/na
in
i/soureup^ /oud- cefí/eJ 'fvrouvaispour
par devant un muni• peu aux zziaAAeutez/x uj-AAstes put
errent sur Aa voiep
e/fe. /7e 'etc pas ouAA/ésa repon ripaspA/sheureux.
uAAzpue.
dufox;
no
camme
ue
son
a
.
u
..
se
*dddouze a/u Aosey oti/riepa/~
fat m Jit/cpre/uti/ c/airemeut sa
feadresse
nous
cc
•
ma/n/eaaat
ensui'/e
A d/ouspar/iyea -
A
OSITA
e/isen/tie
zzie/tre /cj /rueaues da/ts /e vase
/es
pu/
A/en
etaitdya unepetzfzyfc/n-
-vdpres avoir Ao/ytemps dzerc/ie'
fe
moyen de ve/ur en aide dsoupure,
//te.
-
Ae/ipaefpue nous âê
cuei/A^ e/nous ec/zaziyeaznes
/i mu/ueAAeprozziesóe
deneyaz/iaz's
pserdre cesy/eiws. (f/A via/c//e -/nazie
mes
/e mafheur
f/ua/idnous reve/rons-
ei/e /utproposa
/e Suivre
ì/ijoij mo/t heroïne ost une
chanteuse, et u/p ri/anteuseo
dì taf/á - Coucerfs. Cfíe eu/siinoj
concerts
d'ufz/iser sa vo/x e/oè
sur /espro/neaades^ ou durs
a
deux auraient su/'e/ziciinj
p/us de sucres. d/pere rf/rsa d'a/orf
vou/antpas associer opfÌ'//e tisao
AzyAe/yvs conservées, après
pua/ d AonAenr d~y 'e vis ses Aevres doutepry/ére fAre à/'dpémp/a/s v/e de nu'serey zzia/s o//epr/a iaazs.
c/iercAer
AoncAe.
Jtf/erma/ Aeo pue vouiez- vouSj AouA Aemonde ne pu '//finit par rozise/if/r. -de surres
J/e//K Croyant mourir.' ma A/ea aimeé peu/pasp en/rer /- (/Du Jfardau dépassa Aenr a/fente.da voix detiose
//l'avait -e//c aussi) oAonnèsonpre D/tidi/ de A'AisA a A'duesA, fia 'osas efaitfeu/ie ef/raíeAe^ etsonpere /'ar~
/
pas u/ie v/AAe ou ei/e n'aif puo/pu eonipo/rp/tait avec Aeaucoup deJ/fr/O;
d/prejefi/pprentú /tuf me/ne/'rjpttrf/pîme jea/iey/aitretentirAesAr/Afes i/esaJ aussi /es /enff/ces aup/zieutè/eaf-zAs
dA/'ieptf'oipardès/U'/il/our/sefdtOufiSme fratcAe voix. £i/e n 'en e/a/fpasp/us dtiae zziaziiere
saf/sfa/sante.
/A/M/fl/tpp/'tlP/i't/r du //tòf/f/tl eí/ù//jt / rèi'AepourceAp puano/dernieremeuf
áprand/ssant Aose rfaifdcve Ae/ireuse aven/ure v/ut n/e/Are
fresyo/ie. fSrune^ avec aseyraz/di
dA f.
ji/i dsa course vapi/Aonde.
yeux noirs e/ des cAeveax d'e'Aenc/f
die cAarmait tous
put '/a voya/mz.
Aérait e/z deux /noAs :
d/Ae
avais
/èdiyouzpffouAes Aes A/s fo/reyCj
c/ariye se/znom d Aiose eu
ce/uf
de
co/n/neuceuiv m/rs/J;
ìfos//ay pue nous /u/avons
u/iyour donr^
nwfii/j
Divers
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hbleaux. fy pue Ae Aazar/Aava// eouàíiifAt iAosi- donné commencement rte cercr/jp
fa dans uneped/e v/AAc de
/Arefirpzp puandnous /avo/zs aAandonneé en.
/Mj 'eune dodersax pi/i asj/siaif cti f/Arefay/ie.
a
ma
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ne
—
-
//lier oatser
assez
une
nue
ceux
au
une
de etes
rpresen/uAèousy seseaA'j
cd/o/re AoSereau efa/t uny 'euae
prAspour cAAe d'uuep/tss/oupfoAAc- efric/eyenfz'/Aozzzzzie deno/Afavzi/Ae.
dans itnepe- fèeaucoup dxauAresyèu//espe//sJ a- û/p/ie/zky /Aiavait Aa A/Are adzma/s h'te v/iiedepronizice.-Aa UauA Au/, s 'ada/e/if epr/s
de/ai^sifp trai/ort desayortune pu z/dpeasa/t
l'Ci/Ie^ /e conseitvutnceipaA,avaì/ e/u ma/spas assez epeuda///pourAu yé//emenf p/zazzd//rencontra dosz'/a.
ne/ad/'oint. dAe Aendeviainpouc of/r/r a//Are cAose pu Ame sommes CDes Cyoz/r son sor/ c/azyex. - AAn'cuS
Ses de/uh
/eveopAiife devait unir un. dArrpeu/j eu erAa/ipe de
ou p/us désormais d'au/zur Autpue ce/ui
de
y'eu/te eo/p/e.
personne /jAo etvat'en/ efe,-yer
friyitirepar/ayer son autour. AA
ón
W/pas Aesoi/i de oous /e d/re^^. zifpparvintpas sanspue/pues d/ff/rtipnitnt AecAape fn'co/orej
scène sepasse
i/n fiaa
//
noire edi/c /cu/^f/er
de sonpos/eAo w/f/pie^, savourait /instant ou/A
Aoufeuse/zzeaA re/zterc/es; rars/Ae/nèítèer de ryfanAeuse esAderensAA/-
dysasera/t jur Ay/rontde Ayèuzze/^
repae unyrandn v/zzAre defíAAsr-x admirateursj ne se /azissa/tpasyacz -
cpa/ise /e Aradi/iòuaeA,Aa/serj efde/d
da/is Ja/é/e
pi/A zze s'en semze/zApz/epvuryÇr/re
pa/'/tde Oe' Aezczpezsozz/ie^ ztiose/f&r-
cu/feSy car Aes/fa^, Aa//fueé aaxprotestafio/zs ratfousias/es de no/zz/reax
Aezzient convaincre.
jepressa/ent AespArases
tf/Ay/zif ey/n o/Ayee de se rendrea
/a
rèa/z/e^ e/comme Aye/me niarpuis
1/'///ipr/// Aont'zneziApzrparedìhvan- fjfemeiava/AezziAzassè'pz/epozzi~
AjA/noce arrive. tin se Av/e, opine/ reAapper aux aAAe/zz/es deAa JAi/sère. foynait un assezy 'oAip/poipue d~de
s-s'itd/oint, d'une voixyrave/ /// cexs ede/zpe/'e sua viez/x soAdaAfprine' Ae/Aes iztanzèreSy d/é consentit d deve¬
re.
sacrazzien/eès« Çlâre Ttonsea- d/i A/asppa/icAepzitr une A/ess/z/'O-*
fez-vous iè~prendrepotir
fey/t/me/^ rerzie dd/is Ar de/rziesfyi/cmej
époux Dbscur ÌT xítii notipeien- nepaz'venat/pue o/fA/c/Ae/neux
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Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Folies Bergeracoises
Type
The nature or genre of the resource
texte
publications en série
Spatial Coverage
Spatial characteristics of the resource.
Bergerac (Dordogne, France)
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Sem : Goursat, Georges (1863/1934)
Language
A language of the resource
fre
Source
A related resource from which the described resource is derived
Bibliothèque municipale de Périgueux, P2-798
Medium
The material or physical carrier of the resource.
papier
License
A legal document giving official permission to do something with the resource.
Licence Ouverte 2.0
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
ark:/30098/hhtx
Subject
The topic of the resource
Politique
Bi-mensuel
Satirique
Description
An account of the resource
journal humoristique bi-mensuel
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
44 cm
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
Rights
Information about rights held in and over the resource
Domaine public
Bibliographic Citation
A bibliographic reference for the resource. Recommended practice is to include sufficient bibliographic detail to identify the resource as unambiguously as possible.
I S S N Num 2505-1415
publication en série imprimée
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
FRB243226101_P2-798_1886_003
ark:/30098/4933
Type
The nature or genre of the resource
text
Title
A name given to the resource
Les Folies Bergeracoises
Subject
The topic of the resource
Bi-mensuel
Satirique
Politique
Description
An account of the resource
N° 3, 1886
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886-12-31/1886-01-01
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
4 p.
Language
A language of the resource
fre
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Spatial Coverage
Spatial characteristics of the resource.
Bergerac, 24100
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Goursat, Georges (1863 / 1934)
Contributor
An entity responsible for making contributions to the resource
SEM : Goursat, Georges (1863 / 1934)
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
Rights
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Licence Ouverte 2.0
Source
A related resource from which the described resource is derived
Périgueux, Médiathèque Pierre Fanlac, P2-798
-
https://petrocoria-num.perigueux.fr/files/original/2e509d890d3f314776362f5c2bb8f1ba.pdf
e9b2baea7d2f8f6e302f4bc129f79441
PDF Text
Text
Prix
Première Année
JDURHA.L
—
•.
Numéro 3
10 centimes
-1Q
J3I-MENSUEL
HUMOfllSTIÉC
I
Les manuteNts
abonnements
Un en :
3'
six/va1»
1f 75
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BUB BAUX.
RUE <A
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Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Folies Bergeracoises
Type
The nature or genre of the resource
texte
publications en série
Spatial Coverage
Spatial characteristics of the resource.
Bergerac (Dordogne, France)
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Sem : Goursat, Georges (1863/1934)
Language
A language of the resource
fre
Source
A related resource from which the described resource is derived
Bibliothèque municipale de Périgueux, P2-798
Medium
The material or physical carrier of the resource.
papier
License
A legal document giving official permission to do something with the resource.
Licence Ouverte 2.0
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
ark:/30098/hhtx
Subject
The topic of the resource
Politique
Bi-mensuel
Satirique
Description
An account of the resource
journal humoristique bi-mensuel
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
44 cm
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
Rights
Information about rights held in and over the resource
Domaine public
Bibliographic Citation
A bibliographic reference for the resource. Recommended practice is to include sufficient bibliographic detail to identify the resource as unambiguously as possible.
I S S N Num 2505-1415
publication en série imprimée
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
FRB243226101_P2-798_1886_002
ark:/30098/494d
Type
The nature or genre of the resource
text
Title
A name given to the resource
Les Folies Bergeracoises
Subject
The topic of the resource
Bi-mensuel
Satirique
Politique
Description
An account of the resource
N° 2, 1886
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886-12-31/1886-01-01
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
4 p.
Language
A language of the resource
fre
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Spatial Coverage
Spatial characteristics of the resource.
Bergerac, 24100
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Goursat, Georges (1863 / 1934)
Contributor
An entity responsible for making contributions to the resource
SEM : Goursat, Georges (1863 / 1934)
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
Rights
Information about rights held in and over the resource
Licence Ouverte 2.0
Source
A related resource from which the described resource is derived
Périgueux, Médiathèque Pierre Fanlac, P2-798
-
https://petrocoria-num.perigueux.fr/files/original/9deed5d9c79a54c055942905594bca78.pdf
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1886
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18..
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FRB243226101_P2-798_1886_001
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Subject
The topic of the resource
Bi-mensuel
Satirique
Politique
Description
An account of the resource
N° 1, 1886
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1886-12-31/1886-01-01
Temporal Coverage
Temporal characteristics of the resource.
18..
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
4 p.
Language
A language of the resource
fre
Rights Holder
A person or organization owning or managing rights over the resource.
Médiathèque Pierre Fanlac
Spatial Coverage
Spatial characteristics of the resource.
Bergerac, 24100
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Goursat, Georges (1863 / 1934)
Contributor
An entity responsible for making contributions to the resource
SEM : Goursat, Georges (1863 / 1934)
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Boisserie, L.P.
Rights
Information about rights held in and over the resource
Licence Ouverte 2.0
Source
A related resource from which the described resource is derived
Périgueux, Médiathèque Pierre Fanlac, P2-798